Après son projet “Dans Ma Boîte” proposé il y a peu sur notre site et en téléchargement légal, nous voulions vous informer de la sortie prochaine du nouvel EP de Pand’Or : “Le Cul entre deux 16”. Celui ci sera disponible le 3 Juin 2013 via L’Or Noir. Les prods sont de Flev (réputé pour ses prestations de MPC Live et ses instrumentales).
Premier extrait du projet : “La Misanthrope”
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Clip “Le Cactus”
Biographie:
Faisant partie de cette jeune génération de rappeurs avides de mots, Pand’or en a une faim insatiable malgré son jeune âge. L’envie d’écrire l’a prend à l’âge de 13 ans sans raison précise si ce n’est l’ambiance hip-hop dans laquelle elle a grandi. S’abreuvant à toutes les sources rapologiques de l’époque – de Flynt à Médine, en passant par Movez Lang, elle étanche ainsi sa soif de curiosité. Quelque soit le genre de rap qu’elle écoute, sa vision de cette musique ne change pas, pour elle le rap reste avant tout une musique urbaine et protestataire : « Un art avec des vrais lyricistes, des vrais poètes, conscients et intelligibles ». Mais elle retrouve également cette contestation dans d’autres genres musicaux ; la musique est universelle, son but originel aussi. La soul et le rock lui permettent d’élargir ses horizons artistiques, de parfaire sa culture musicale et de développer son écriture.Révélée au public grâce à deux morceaux postés sur la toile, notamment « Twenty », c’est par le biais du Rap Contenders qu’un visage est placé derrière ce surnom légendaire. Et la seule chose qu’on ne peut lui contester, c’est sa témérité à aller affronter ces confrères masculins. Avec la rage de vaincre, de l’huile de coude et des heures passées à peaufiner ses textes, Pand’Or s’impose comme l’une des artistes féminines sur lesquelles il faudra compter dans ce rap. Qu’elle ait remporté ou non ses battles au RC, le cœur du public se gagne lui au kilo de plumes et non au kilo de rimes. Faisant partie de cette jeune génération de rappeurs amoureux du rap, Pand’Or l’utilise comme une échappatoire : « Je rappe pour rendre fiers les miens et pour ne pas devenir cinglée dans ce monde où tout m’échappe ». Loin du discours égotrip, les morceaux de Pand’Or reflètent une modestie naturelle d’une jeune artiste prometteuse qui ne vise pas la lune sans avoir bien ancré ses pieds sur Terre.
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